Ne pas taire vos commentaires !

L’envie d’animer en permanence, de faire vivre la moindre conversation, sensation, plus longtemps… Repenser à ce qu’il ou elle m’a dit, une fois le téléphone raccroché ; déplorer que ce soit si difficile d’écouter, ne pas couper la parole ; écouter, pas juste écouter, écouter pleinement…

 

Pourtant « le kit main libre permet de faire autre chose en même temps » m’ont dit deux amis. Lorsque j’écoute, je ne peux pas faire la cuisine, je n’y pense même pas, même s’il m’arrive de couper la parole : pour moi une conversation, une sensation, c’est comme un feu qui brûle, avec des flammes plus hautes, parfois…

 

Mes chroniques naissent-elles ainsi ? Elles naissent, c’est un fait ! Ensuite, arrive la fête des mots, l’aventure…

 

Avec une nouveauté : la possibilité de mettre un commentaire sous la chronique ; dans la gestion de la publication de ce commentaire, je joue un rôle : je reçois un mail avec votre commentaire ; je le valide.

 

Grâces à vos commentaires, ces chroniques deviennent ce que j’ai toujours rêvé qu’elles soient, des amorces ; comme les visites que j’anime, sauf en ce moment…

 

Il ne faut pas taire vos commentaires : j’ai hâte de les lire !

  1. Bruno vous savez bien que je suis une inconditionnelle, votre signature est comme un passeport pour le plaisir de l’esprit et des sens, des plaisirs rares qui pétillent et stimulent.

  2. Bonjour,
    Merci pour vos chroniques auxquelles je me suis abonnée grâce à Henry et Martine .
    Ciselées avec humour, elles m’ont fait découvrir de Maistre et souvenir de mes vacances d’ado à Wimereux.
    Merci

  3. Bonjour l’ami Bruno,
    elles commencent à dater nos belles balades des « Parisiennes d’un jour » nom trouvé à notre petit groupe de provinciales du Val de Loire par une des nôtres aujourd’hui décédée.
    J’en garde un souvenir délicieux.
    Ce que tu dis des conversations téléphoniques me va droit au cœur.
    Quand j’appelle l’une de celles qui me sont les plus chères au monde, c’est-à-dire l’une de mes trois filles, je me prépare.
    Je vais faire pipi, je prends un verre d’eau et je m’installe confortablement sur un canapé ou sur mon lit.
    Enfin, je compose le numéro.
    Nous sommes tous les deux des épicuriens, mon cher Bruno, c’est pourquoi je me suis si bien entendu avec toi, faisant fi des critiques de quelques esprits chagrin !
    Ave Bruno,
    Catherine

  4. Bruno Je découvre au fil de tes chroniques à large spectre ,une architecture insolite,des auteurs des peintres etc…Je les partage avec les amis et j’apprécie l’étendue de ce qui me reste à découvrir
    Amitiés

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